La situation est grave. Le chef parle de mesures à prendre. Un serviteur zélé va quérir un mètre.
Que dire de ces amours partagées où chacun veut la plus grosse part ?
À l’armée, il est une règle implicite : savoir se taire et taire son savoir.
Faut-il donc qu’elle se prête à la plaisanterie sans se donner au plaisantin ?
Certes, vous avez une dent contre ce pugiliste, la seule qu’il vous a laissée, au demeurant.
Qu’espérez-vous des femmes volages ? Ne savez-vous pas qu’elles vous laissent tomber comme elles laissent tomber leur culotte ?
Ce peintre n’a pas manqué sa vocation, mais c’est dans le bâtiment qu’il aurait dû faire carrière.
Il existe des lèche-cul qui se trompent de côté.
Il passait pour avoir une certaine indépendance d’esprit, alors qu’il se contentait d’avoir des opinions contraires.
Amour rime avec toujours dans un poème de menteur ou dans un mensonge de poète.
Si on me comparait déjà Marc Levy à l’époque, ce sera encore plus vrai aujourd’hui, vu que mon dernier livre a le même titre que le sien, et non pas l’inverse ! 🙂
Bonjour à toi, Jean Luc. C’est marrant, il y en a plusieurs qui me font penser à des personnes…
Sinon j’ai ça à te proposer : http://cockritures.fr/regards-decales-sur-la-vraie-vie/index.html
Si ça te plait n’hésite pas à faire suivre. Merci !
J’ai lu sur ton blogue que l’on te compare à Marc Levy, mais je ne suis pas sûr que ce soit un compliment (je suis méchant, là 🙂 ). J’ai toujours pris du plaisir à te lire et il me tarde d’avoir ton recueil entre les mains.
Bonne chance.